من طرف محمد البوزيدي الأحد يونيو 23 2013, 00:42[ltr]Les participants à une journée d’étude sur ''l’importance des études et restauration des monuments et manuscrits, pour la préservation de l’identité'', ont mis l’accent, jeudi à Laghouat, sur la nécessité d’une stratégie visant la préservation des manuscrits anciens. Intervenant à cette occasion, Dr. Noureddine Benabadallah, de l’université de Djelfa, a estimé que l’exploitation ''optimale'' des manuscrits requiert la mise au point de programmes visant d’abord leur préservation, ainsi que l’encouragement, à travers des mesures incitatives, des propriétaires de Khizanate (bibliothèques privées), en vue de céder leur patrimoine et d’éviter les modes de conservation traditionnel. Le conférencier a suggéré, dans le souci de préserver ce patrimoine et son contenu, son impression et sa numérisation, à la satisfaction des chercheurs, et la généralisation des laboratoires de restauration de manuscrits à travers le pays.
Le directeur du laboratoire de terminologie et manuscrits en littérature algérienne, de l’université de Laghouat, M. Mohamed Amine Khouiled, a mis en exergue les efforts universitaires déployés par les équipes de recherches et centres de collecte, pour la préservation, la récupération et la restauration des manuscrits anciens. M. Khouiled a estimé que la plupart des manuscrits étudiés sont versés dans le Fikh (religion) et les lettres arabes, au détriment des domaines scientifiques. S’agissant des critères d’authentification de ce patrimoine, l’orateur a souligné la nécessaire qualification des vérificateurs, ainsi que la coordination et la valorisation des travaux de groupe dans l’étude des manuscrits anciens. Initiée par l’association pour la culture et le patrimoine ''Sidi Bouzid'' d’Aflou, dans le cadre du mois du patrimoine, cette journée d’étude, abritée par l’annexe universitaire d’Aflou (Laghouat), a regroupé des universitaires et chercheurs en patrimoine, venus de différentes
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Le directeur du laboratoire de terminologie et manuscrits en littérature algérienne, de l’université de Laghouat, M. Mohamed Amine Khouiled, a mis en exergue les efforts universitaires déployés par les équipes de recherches et centres de collecte, pour la préservation, la récupération et la restauration des manuscrits anciens. M. Khouiled a estimé que la plupart des manuscrits étudiés sont versés dans le Fikh (religion) et les lettres arabes, au détriment des domaines scientifiques. S’agissant des critères d’authentification de ce patrimoine, l’orateur a souligné la nécessaire qualification des vérificateurs, ainsi que la coordination et la valorisation des travaux de groupe dans l’étude des manuscrits anciens. Initiée par l’association pour la culture et le patrimoine ''Sidi Bouzid'' d’Aflou, dans le cadre du mois du patrimoine, cette journée d’étude, abritée par l’annexe universitaire d’Aflou (Laghouat), a regroupé des universitaires et chercheurs en patrimoine, venus de différentes
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